En dépit de la désastreuse expérience avec la plaine du cul-de-sac, la plus importante de la République avec une superficie de 36 000 hectares et des travaux de différents chercheurs sur la nécessité de ne pas laisser se reproduire une telle situation, nous ne constatons aucune prise en compte effective de l’extrême urgence de préserver nos terres agricoles de la part de nos dirigeants. Même Jovenel Moïse qui a promis "de créer un choc dans l’agriculture" (1) n’aurait rien projeté à ce sujet. Ainsi, la plaine de Léogâne, la deuxième en terme