Par Abner Septembre, sociologue
La mort est toujours vécue ici et ailleurs comme une douloureuse réalité, remplie d’émotions. Les gens regrettent amèrement le départ du défunt, versent des larmes et émettent des cris ou des gémissements qui expriment la profondeur de la souffrance qu’ils ressentent. Cette tristesse est intimement liée à la relation des uns et des autres avec le disparu, voire au niveau d’appréciation de son œuvre, quelle que soit sa nature, aux yeux de ces derniers.
Le culte des morts est une pratique très rép