« L’année judiciaire 2017-2018 a déjà démarré sur fond de crise. Des magistrats et greffiers continuent de réclamer de meilleures conditions de travail, le paiement des arriérés de salaire ainsi qu’une meilleure prise en considération dans le budget de fonctionnement du pays. Cette situation laisse augurer le pire pour cette année », peut-on lire dans ledit rapport. En effet, le Réseau national de défense des droits humains (RNDDH) a signalé au niveau du pouvoir judiciaire haïtien, que l'existence d'une dyarchie oblige le CSPJ à administrer