Yanick Lahens a introduit ces ‘’écorchées vivantes’’. Ces neuf (9) femmes blessées dans leurs êtres profonds et intimes en mettant très haut la barre dans sa préface « Ces blessures comme des astres » à cet ouvrage collectif de récits intitulé « Ecorchées vivantes ». Pour elle, « ces jeunes auteures investissent les registres lexicaux tabous liés à la sexualité ou au sacré comme pour infléchir les usages langagiers et les mentalités qui les cautionnent et nourissent l’exclusion des femmes. »
Neuf (9) jeunes filles [1] : Sachernka Ana