À l’heure où les demandeurs d’asile fuient massivement les États-Unis, faisant du Canada leur première destination, le leader de la Coalition Avenir du Québec (CAQ), François Legault, a songé à paraphraser Michel Rocard, en 1990, pour rappeler que le Québec ne pouvait pas « accueillir toute la misère du monde ». Mais il a oublié la conclusion de l’ancien Premier ministre français selon laquelle son pays « doit savoir prendre fidèlement sa part ».
Un défi gérable
Les images de l’arrivée d’êtres humains désespérés, dont une majorit