À 71 ans, Gary Filippi, peintre autodidacte, fait partie de ces artistes difficiles à interviewer tant par la diversité de ses œuvres que du sens qu'elles revêtent. Comprendre ses tableaux se révèle un véritable rallye heuristique au cours duquel l’artiste ne nous tiendra pas compagnie. Il n’impose pas un sens à ses peintures. On est libre de voir dans « Marine » une partie ainsi titrée de ses tableaux, l’image de la « m-e-r » comme une source vie. Ou encore de discerner dans ses têtes de « Femmes » la représentation de la « m-è-r-e », enc