Dans son discours d’ouverture de la deuxième session de travail des députés, fraîchement revenu de vacances, le président de l’Assemblée nationale, Joseph Lambert, n’avait pas caché ses doutes quant aux réalisations des travaux parlementaires au cours de cette nouvelle session.
L’animal politique, en prononçant son discours, avait sans doute en tête cette vérité : « Qui a bu boira. » En effet, ces parlementaires payés par la République sont trop habitués à faire l’école buissonnière pour changer en un claquement de doigts ou quelques