« Les mandariniers n’ont rien produit cette année. Ils sont en pleine destruction. L’année dernière, les choses étaient plus ou moins. Avant, chaque mandarinier rapportait en moyenne entre 10 000 et 15 000 gourdes. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. » C’est ce que constatent deux producteurs de mandarines, Carice Jean-Pierre et Caroly Célestin, assis à l’ombre fraîche de quelques arbres dans la cour de leur domicile à Musac, quartier de La Vallée de Jacmel.
Mackenson Michel, un natif de cette commune, estime que la mandarine n’était pas