LN : Tout ceci paraît très coûteux. Et comment comptez-vous vous y prendre pour trouver les fonds nécessaires ?
SIA : Chacune de nos activités nous coûte en moyenne 325 000 gourdes. C’est extrêmement difficile, pour ne pas dire impossible, de trouver des entités privées ou publiques voulant et/ou pouvant nous aider. Nous essayons de faire du mieux que nous pouvons avec les faibles moyens du bord. Par le passé, nous avions reçu le support ponctuel de Digicel, Malta H (Brana), Unibank, Rhum Barbancourt, Big Star Market, Le Transporteur,