« À Port-au- Prince, la violence n’est jamais totale. Elle trouve son pendant dans une "douceur suraiguë", douceur qui submerge Francis, un journaliste français, un soir au Korosòl Resto-Bar, quand s’élève la voix cassée et profonde de la chanteuse, Brune. Le père de Brune, le juge Berthier, a été assassiné, coupable d’être resté intègre dans la ville où tout s’achète. À l’annonce de la mort de ce père qui lui a appris à "ne jamais souiller son regard", la raison de sa fille a manqué de basculer ... (extrait de Douces déroutes).»
Yanic