L’ancien président de la commission Affaires sociales du Sénat de la République, Antonio Chéramy, rejette la position du chef de l’État qui, lors d’une visite sur les lieux de construction de la zone franche Santo Dujour à Santo 19 vendredi, avait indiqué qu’il était impossible pour les patrons de payer les huit cent gourdes que réclament les ouvriers comme salaire minimum. « Je pense, encore une fois, que le président est passé à côté. Ce n’est pas son rôle de fixer les salaires. Il n’a pas le droit de s’immiscer dans la question des salair