D'un ton irrité, Dominique St-Éloi, accompagné de trois membres du syndicat, dénonce ce qu’il appelle des abus graves faits à l’encontre des ouvriers. Ces derniers qui payent mensuellement leur police d’assurance à l’OFATMA n’ont pas accès aux soins fournis par l’institution. « Nous avons adressé une correspondance au ministre des Affaires sociales et du Travail, Stéphanie Auguste, dans laquelle nous lui avons exprimé notre décision de ne plus cotiser à l’OFATMA pour une couverture assurance santé et maternité. On estime que le service qu’