Merci à vous, cher public, et en particulier, aux nombreux étudiants de la Faculté de médecine, présents pour ce moment d’échanges, en compagnie de Monsieur Wole Soyinka. On espère qu’il sera fructueux. C’est un moment rare, parce que ce n’est pas tous les jours qu’on reçoit un baobab africain, un écrivain de cette dimension et un Nobel de surcroît. Dans son pays, il a mené le combat constitutionnel, il a connu la prison. Il a cru en la sauvegarde du patrimoine universel ou national, du patrimoine tout court, il a cru qu’il faut absolumen