Pradel Henriquez salue Wole Soyinka, le baobab africain

Le Nouvelliste publie ici un extrait du discours de Pradel Henriquez prononcé le jeudi 22 février 2018 à la Faculté de médecine de l’Université d’État d’Haïti, à l’occasion de la visite de l’écrivain nigérian, Wole Soyinka. Ce baobab littéraire africain, prix Nobel de littérature en 1986, a écouté attentivement l’auteur du « Déclin de la culture haïtienne… » (Livre paru en 2017) sur le thème : Impact de la mobilité internationale sur la géopolitique des États, le cas des pays en développement.

Pradel Henriquez
Par Pradel Henriquez
26 févr. 2018 | Lecture : 5 min.

Merci à vous, cher public, et en particulier, aux nombreux étudiants de la Faculté de médecine, présents pour ce moment d’échanges, en compagnie de Monsieur Wole Soyinka. On espère qu’il sera fructueux. C’est un moment rare, parce que ce n’est pas tous les jours qu’on reçoit un baobab africain, un écrivain de cette dimension et un Nobel de surcroît. Dans son pays, il a mené le combat constitutionnel, il a connu la prison. Il a cru en la sauvegarde du patrimoine universel ou national, du patrimoine tout court, il a cru qu’il faut absolumen

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