Manhattan Blues de Jean-Claude Charles

Par Mario MalivertDes phrases courtes, certaines se terminant sur une préposition, d’autres perchées, suspendues.

Mario Malivert
mariomalivert@yahoo.com
Par Mario Malivert mariomalivert@yahoo.com
22 févr. 2018 | Lecture : 4 min.

Par Mario Malivert

Des phrases courtes, certaines se terminant sur une préposition, d’autres perchées, suspendues. Une prose décousue qui varie selon l’humeur de l’auteur, qui vous surprend et vous charme. Une persistance des détails forgeant une complicité avec vous, le lecteur, de page en page, de chapitre en chapitre. La découverte d’un écrivain qui se découvre, qui s’étale nu dans les pages, entre les pages, qui n’a peur de rien, qui ne s’embarrasse pas des conventions du langage, de l’écriture, du monde même. Les dialogues s’enche

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