Cela va sans dire que la cité christophienne périclite dans une insalubrité déconcertante, voire révoltante. La ville est coincée. Les constructions sont anarchiques. Tant au niveau du flanc des montagnes que sur le bord de la mer, les habitants, avec un « je-m’en-foutisme » collectif qui ne dit pas son nom, s’en contrefichent et dressent leurs baraques. Les dangers sont réels. Bien qu’elles soient conscientes, les autorités locales sont visiblement dépassées. Le directeur de la mairie évoque la volonté des responsables locaux d'adopter des