Jovenel Moïse a tenu une première promesse : il a distribué de l’argent aux partis politiques ayant des élus lors des dernières élections. Le parti Fanmi Lavalas et Pitit Dessalines, qui réclament le départ du chef de l’État, annoncent qu’ils n’accepteront pas leurs chèques. Allouer du financement public aux partis politiques n’est pas une mauvaise chose en soi dans la mesure où il contribuera à leur modernisation. Rien ne laisse croire que les premiers chèques remis ce lundi aux partis politiques vont répondre à cette exigence. Jamais, nos