In Memoriam Tony Capellan

Pour avoir si souvent cherché notre salut dans les décharges, Loulou, Denis et moi étions devenus des chineurs avisés, et nous croyions ne jamais rencontrer plus grand amateur de fatras que nous.

 Jean Marie THEODAT 
jmtheodat@yahoo.fr
Par Jean Marie THEODAT jmtheodat@yahoo.fr
29 déc. 2017 | Lecture : 8 min.

Pour avoir si souvent cherché notre salut dans les décharges, Loulou, Denis et moi étions devenus des chineurs avisés, et nous croyions ne jamais rencontrer plus grand amateur de fatras que nous. Tous les Bric-à-Brac, toutes les maisons d’affaires du bas de la ville connaissaient notre blaze et notre réputation dépassait les limites du Bois-de-Chêne jusqu’à Lalue, comme les meilleurs ferrailleurs, les meilleurs chiffonniers, les plus fins rétameurs de la place. Nos réserves avaient de la gueule et lorsqu’on nous achetait une pièce, c’était a

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