Le Nouvelliste : On vous considère sinon comme un mystique de la littérature contemporaine du moins tel un romancier symbolique qui tente de nous libérer de nos peurs par de grands rituels du mot et de l'image.
Pierre Clitandre : Dans « Cathédrale du mois d'août », j'avais sans le savoir consciemment tenté de déambuler à l'intérieur d'un édifice qui n'est autre que celui de notre coprs collectif qui cherche l'équilibre dans ses bases, l'ascension dans sa dynamique de montée et la lumière par ses vitraux. Cette quête intérieure est un mystère