La chaîne et la couronne de Isaac

Ce roman est, en fait, un conte colonial, une « lodyans » assez longue, racontée dans les années 50 à Port-au-Prince par la narratrice âgée, sorte d'ondine, de nymphe, de fée d'une fontaine ; celle-ci est mystérieuse, attirante et inquiétante, capricieuse et fantaisistes dans ses apparitions.

Roland Leonard
Par Roland Leonard
24 mai 2005 | Lecture : 2 min.
Ce roman est, en fait, un conte colonial, une « lodyans » assez longue, racontée dans les années 50 à Port-au-Prince par la narratrice âgée, sorte d'ondine, de nymphe, de fée d'une fontaine ; celle-ci est mystérieuse, attirante et inquiétante, capricieuse et fantaisistes dans ses apparitions. Le style général est celui de la narration des faits sans trop de dialogues comme dans les contes de fée. C'est donc un enchaînement d'événements inouis, défiant la vraisemblance, faramineux qu'on ne s'imaginerait pas dans le cadre véritable de Sai
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