Myrtha Gilbert récidive. La même sensibilité. La même ardeur militante, la même révolte. Le même combat qui se poursuit.
Elle réédite SHADA, l’enrichit, refuse d’abandonner à leur sort nos paysans amadoués, dupés, victimes de ce qu’elle appelle une extravagante escroquerie.
Il y a de cela quelques années, note Myrtha à la quatrième de couverture, l’un de mes frères évoqua le passage de la SHADA en Haïti, en disant que presque personne ne savait que notre pays avait abrité la plus grande plantation de caoutchouc au monde. Je fus t