La France du tennis au bout de sa peine

On a toujours tort de minimiser la portée pratique et la valeur pédagogique du sport.

Jean-Claude Boyer
Mercredi 29 novembre 2017
Par Jean-Claude Boyer Mercredi 29 novembre 2017
12 déc. 2017 | Lecture : 1 min.

On a toujours tort de minimiser la portée pratique et la valeur pédagogique du sport. Pendant le week-end des 24, 25 et 26 novembre 2017, en finale de Coupe Davis à Lille la France recevait la Belgique. Dans les jours précédents, le capitaine Yanick Noah devait effectuer un choix difficile. Des six pré-sélectionnés, en écarter deux. Julien Bennetteau et Nicolas Mahut ne furent pas retenus. À Richard Gasquet, Joe-Wilfrid Songa, Lucas Pouille…, revint le redoutable honneur de mettre fin au signe indien. Depuis seize ans, la Fran

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