Charlot Lucien dans la peau de Diogène Nèg Mawon

Sans vouloir se comparer au ténor des lodyans, comme Maurice Sixto par exemple, Charlot Lucien enfile une fois de plus le costume de Diogène Nèg Mawon pour nous présenter son dernier CD de contes et récits, « Nèg Mawon pa tonbe ».

Madjolah Pierre
madjoh90@yahoo.fr
Par Madjolah Pierre madjoh90@yahoo.fr
07 déc. 2017 | Lecture : 2 min.

Après « Ti Oma » en 2001, « Grann Gede » en 2007, « San bri san kont » en 2012, c’est avec « Nèg Mawon pa tonbe » que Charlot Lucien vient charmer son public. À la lumière de Maurice Sixto, Jean-Claude Martineau ou Félix Morisseau Leroy, Charlot reste encore l’une des rares personnes à pérenniser cette forme de littérature orale qui tend à disparaître.

L’homme aux contes a pourtant plusieurs cordes à son arc ; peinture, caricature, poésie sont, entres autre, les palettes qui constituent l’aquarelle de sa vie culturelle très active. Bi

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