« Ainsi slama l’oncle » a électrifié la DNL

Avec son œuvre baptisée « Ainsi slama l’oncle », Shelo Plebmuzik a mis l’ambiance le dimanche 26 novembre 2017 à la Direction nationale du livre. Dévoilant son éclectisme, l'un des trois lauréats de l’édition 2017 du prix Résidence par Quatre chemins passe sans peine d’un chantre du corps féminin à un observateur conscient de nos réalités, sans oublier de taper sur plusieurs travers endémiques au post-modernisme. En un mot, on était plutôt bien servis.

Chancy Victorin
Par Chancy Victorin
28 nov. 2017 | Lecture : 2 min.

En moins d’une heure, Shelo Pleb muzik s’est révélé, ce 26 novembre, une bête de scène. Parfois explosives, parfois empreintes d'humour, parfois romantiques, ses punchlines n’ont jamais raté leur cible.

Les femmes présentes dans la salle sont aux anges, lui font les yeux doux quand, au tout début, il explore le corps féminin dans le pitch baptisé « Jewometri lanmou ». Dans un registre qui ne manque pas de rappeler Oswald Durand, il dénude la protagoniste imaginaire, madone à qui il rend un culte éminemment érotique. « Je veux touch

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.