Ces derniers jours, je réfléchissais sur la situation du pays. Je passais en revue les sacrifices, le dépassement, la grandeur d’âme dont firent preuve nos ancêtres. Je me suis demandé si, après 1804, pa gen moun ankò nan peyi a. Car, puisqu’on ne peut s’entendre pour faire qoui que ce soit de grand, on ne peut faire aucun sacrifice pour la génération à venir.
Au contraire, même l’orgueil, l’espoir que nos ancêtres nous ont légué, nous le détruisons au jour le jour.
En réfléchissant, je me suis rendu compte qu’il y a, depuis des