Des cris d’orfraie sont invariablement poussés dès lors que sont étalées les mauvaises pratiques en cours dans les tribunaux. Un ancien directeur général du ministère de la Justice, Me Yves Barbot, a livré une longue bataille pour faire respecter le tarif judiciaire En vain.
À la cour d’appel, à chaque rentrée judiciaire, le feu président Anel Alexis, secondé par le greffier en chef Jean-Marie Jocelyn, se coupait les cheveux en quatre pour le respect du tarif judiciaire. En vain.
S’il y avait une retenue en ce temps-là, tout a e