La justice de l’injustice

Un homme soupçonné d’avoir volé une brouette sur un chantier vient de passer quatre ans dans les geôles infernales du pénitencier national.

Valéry Daudier
Par Valéry Daudier
18 août 2017 | Lecture : 3 min.

Un homme soupçonné d’avoir volé une brouette sur un chantier vient de passer quatre ans dans les geôles infernales du pénitencier national. Pourtant, le dossier de cet homme avait été classé sans suite par le parquet de Port-au-Prince. S’il était reconnu coupable, il purgerait une peine d’emprisonnement ne dépassant pas 30 jours. Mais, le fait d’être un anonyme, Daniel a été victime de l’irresponsabilité ou de la méchanceté des autorités judiciaires (magistrats, parquettiers, etc.). N'était la diligence des avocats du programme d'aide légal

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