Le chancelier haïtien Antonio Rodrigue, en interview avec le journal, le vendredi 11 août, pour couper court à la polémique aux quiproquo a concédé qu’il s’est « peut-être » mal exprimé en indiquant que le gouvernement est prêt à accueillir les ressortissants haïtiens ayant fui les États-Unis pour se réfugier au Canada.« Peut-être que c’est une question de langage. Quand j’ai dit prêt, cela veut dire que si nous sommes forcés, si nous sommes obligés, nous devons les recevoir. Ce sont des compatriotes, des Haïtiens comme nous. Je précise que