Avec un conseil de la défense composé de Me Claude Junior Charles, Me Jusnel Jean, Me Terminé Calixte, Me Éric Longchamps et de Me Rose Gaëlle Désiral, tous du barreau de Port-au-Prince, les droits de l’accusé ont été défendus farouchement. En effet, en raison de ses dettes envers le fisc haïtien, l’avocat voulant se constituer partie civile pour la plaignante, à savoir la dame Sabin Marie Michel, mère de la mineure, a été mis à l’écart pour être dans l’incapacité de produire sa patente, suite à la demande de la partie défenderesse. Un grand