À défaut des États-Unis, du Canada, de la France ou d’autres pays riches, les Haïtiens partent par milliers au Chili, au Brésil et en République dominicaine à la recherche d’emplois, dans la plupart des cas. La catégorie des gens qui partent ne sont pas au courant des chiffres sur le flux des investissements directs étrangers (IDE) dans leurs pays d’accueil. C’est le nombre d’emplois et la rémunération qui les attirent. Dans la course aux capitaux étrangers qui permettent de créer des emplois, les chiffres donnent raison aux migrants.
Le Ch