L’interprétation esthétique de Pierre Clitandre du souper d'Emmaüs de Caravaggio

« Entre l’ombre et la lumière, il y a une jonction métaphysique qui exhibe la spiritualité à l’époque de la renaissance.

Louis-Jeune Taberneau. 
ltaberneau@yahoo.fr
Par Louis-Jeune Taberneau. ltaberneau@yahoo.fr
17 févr. 2017 | Lecture : 3 min.
« Entre l’ombre et la lumière, il y a une jonction métaphysique qui exhibe la spiritualité à l’époque de la renaissance. Le pain au milieu de la table exprime la paix, les pommes, les raisins et le vin cristallisent la dimension christique du tableau. Nous sommes en face d’un peintre rationnel », a commenté l’écrivain-journaliste Pierre Clitandre, lors d’une causerie, dimanche, à la rue Dufort. Devant un parterre d’amateurs d’art, il a présenté le tableau de Caravaggio, ce peintre italien (1571 – 1610), comme un témoignage vivant du souper d
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