Décidément, le dimanche me porte chance, et la chance - car il s\'agit bien d\'elle - je l\'ai eue le 30 janvier 2005 d\'assister au concert d\'une pianiste classique haïtienne accomplie, docteur en musicologie par surcroit, Marie Maud Thomas-Boisette de passage en Haïti, vivant en Allemagne depuis tantôt quarante-sept (47) ans, sa patrie d\'adoption.
Le programme était chosi comme pour faire le consensus dans l\'assistance: une prédominance de compositeurs romantiques, Chopin, Schumann, Schubert, sur un classico-baroque, Domenico Scarlatti