Funérailles du journaliste Harold Brézault

Qui sera la prochaine victime?

« Je vous invite à considérer la mort de Harold comme une occasion de prendre conscience car, un jour, ce sera notre tour ».

Samuel Baucicaut
samuelbaucicaut@lenouvelliste.com
Par Samuel Baucicaut samuelbaucicaut@lenouvelliste.com
14 févr. 2005 | Lecture : 4 min.
« Je vous invite à considérer la mort de Harold comme une occasion de prendre conscience car, un jour, ce sera notre tour ». Ces propos, à la fois pénibles et réalistes, sont du révérend père Kénel Alphonse. Il les a prononcés ce lundi 14 février 2005, en l'Eglise Saint Louis roi de France à Port-au-Prince, en guise de conclusion de son sermon, à l'occasion de la cérémonie funèbre de notre confrère, Harold Brézault, 39 ans, journaliste attaché à l'atelier graphique de Le Nouvelliste tué le dimanche 6 février 2005 à la rue Péan, à proximité de s
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